Lors de son ultime référendum d’avril 1969, le Général de Gaulle souhaitait le réaliser. Dès la création d’échelons et de sphères administratifs superflus et dispendieux. De temps et d’argent sont perdus.
La décentralisation reste au cœur d’une discussion, toutefois, aucun gouvernement n’a osé l’employer. Dominique Pierre, le directeur d’entreprise de Mérignac en Gironde et le père de Kit&A (fabricant de studios de jardin en bois) évoquent la mise en œuvre des buts simples.
Tout d’abord, il faut arrêter le développement des charges d’activité des organisations administratives et étatiques. Pour ce faire, le mieux c’est d’introduire un déclin établit des nombres des administratifs et une baisse des investissements d’infrastructures et de superstructures administratives. Il faut ensuite réduire, en un quinquennat, une partie d’effectifs des élus régionaux qui compte 640 000 en ce moment. Ça mène le pays dans la moyenne européenne, en franchissant de 5 à 3 niveaux administratifs. C’est bénéfique. Il faut aussi fortifier les privilèges économiques et sociaux des locaux. Il faut conclure une loi très simple, afin d’interrompre l’inflation de règles et principes, et ce, d’annuler deux lois existantes, avant d’adopter une nouvelle.
Tant de normes pratiques, qui ne subissent pas une transformation, peuvent introduire le pays dans un cercle irréprochable. La France peut réaliser son redressement. Mais c’est une décision qui appartient au pays tout entier. Les médias économiques doivent amorcer l’entreprenant. D’autres vont leur suivre, et certains d’entre eux vont accroître la dynamique.